Les phases de la lune | Ski de chalet sous la pleine lune
Résumé : 13 nouvelles sur le thème «Mon voisin d'à côté» «Un déménageur sans empreintes» de Francine Allard llustration de la couverture : Danielle Simard Ski de chalet sous la pleine lune
Résumé : 8 nouvelles et 1 poème sur le thème «O toi, ma p'tite phobie !». «Mon âme dérape» un poème de Sylvain Dodier Illustration de la couverture : Odile Ouellet Pour l'amour de Virginie…
Résumé : 11 nouvelles sur le thème «Un mauvais coup» «Molière ou les épingles à linge» de Francine Allard Illustration de la couverture : Steve Beshwaty Étienne Desloges aux premières loges !
Résumé : 16 nouvelles sur le thème du sport «Record sur courte piste» de Cécile Gagnon Illustration de la couverture : Paul Roux Les planètes, mes complices
Résumé: 11 nouvelles sur le thème «Magie et sorcellerie». «Par la bave du crapaud d'oncle Robert !» d'Evelyne Gauthier Illustration de la couverture : Paul Roux
Résumé: 12 nouvelles sur le thème «Un week-end sans les parents». «Bye-bye, les parents !» d'Édith Bourget
Illustration de la couverture : Laurine Spehner
Résumé : 12 nouvelles sur le thème «La fois où j’ai eu l’air le plus fou» «Dingue à sonner les cloches !» de Louise-Michelle Sauriol Illustration de la couverture : Paul Roux
Résumé : 12 nouvelles sur le thème «La nuit, tout le monde ne dort pas» à saveur d’horreur sous toutes ses formes «Les Maraudeurs de l’étrange» de Anne Jutras Illustration de la couverture : Laurine Spehner
Voici comment Yanik décrit les premiers balbutiements du projet qu'il a mené à bien avec monsieur Patrice DeSerres et ses élèves de l'École Notre-Dame-des-Neiges (Commission scolaire de Montréal). «Quand j’ai dit aux élèves de monsieur Patrice que j’espérais qu’ils proposent un animal original comme personnage principal de notre nouvelle, je voulais dire pas de chat, pas de chien, pas de poisson rouge ! Cependant, je ne m’attendais pas à ce qu’ils me proposent des créatures mythologiques ! Je ne pensais pas non plus qu’ils m’en proposeraient deux et que les deux arriveraient ex æquo lors du vote ! Ayoye ! Pourtant, grâce à eux, j’ai eu la chance de plonger dans un univers qui était très loin de moi. Ils m’ont permis de découvrir un nouveau monde, de créer une nouvelle planète. Ce n’est pas tous les jours qu’un écrivain a la chance de faire ça. Alors je dis merci à Patrice et à ses élèves extraordinaires, des sources d’inspiration inépuisables.» Les nouveaux souverains d'Esopte est la dixième collaboration de Yanik Comeau à un recueil de l'AEQJ. Résumé : Dix auteurs membres de l’Association des écrivains québécois pour la jeunesse vous offrent ce bestiaire formidable, créé en collaboration avec des écoliers montréalais. «Le cinquième tigreau» de Louise Tondreau-Levert Illustration de la couverture : Jocelyn Jalette
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Publiée
en 1997, Yanik Comeau a écrit Les phases de la lune
spécifiquement pour le premier recueil de nouvelles de l'Association
des écrivains québécois pour la jeunesse (AEQJ).
C'est d'ailleurs Yanik, alors qu'il était au conseil d'administration
de l'association, qui a suggéré le thème, «Mon
voisin d'à côté». Treize écrivains
se sont penchés sur le thème pour écrire treize
histoires aussi passionnantes et délicieuses les unes que
les autres. Ces treize écrivains, plusieurs chevronnés
(Cécile Gagnon, Carmen Marois, Daniel Sernine) et d'autres
plus verts (dont Yanik à l'époque !), possèdent
des styles et des genres très différents ce qui fait
d'Entre voisins un livre dynamique et intéressant
pour tous les styles et les genres de lecteurs. Choisi dans
la sélection de la Livromanie de Communication-Jeunesse.
Après
le succès de Entre voisins, le conseil d'administration
de l'AEQJ cherchait un autre thème qui allait stimuler ses
membres à écrire et, bien sûr, créer
des histoires qui passionneraient les lecteurs. Pour le deuxième
recueil, c'est «Ô toi, ma petite phobie !»
qui a été choisi. Les écrivains membres de
l'association ont donc été invités à
écrire sur une phobie, une peur. Huit écrivains et
un poète (Sylvain Dodier) ont répondu à l'appel.
Dans Peurs sauvages, on a donc droit à huit histoires
différentes, plusieurs drôles, quelques-unes qui font
frissonner, sur le thème de la peur. Plongez sans crainte
dans chacun des univers ; vous éprouverez un plaisir
incontrôlable. 
Après
avoir pris congé pour les recueils de l'AEQJ de 1999 (Les
contes du calendrier) et 2000 (Futurs sur mesure),
Yanik Comeau a été très inspiré par
le thème les mauvais coups proposé par le
conseil d'administration pour le recueil de 2001. C'est en se rappelant
le décor naturel de ses classes verte et neige (5 e et 6
e année primaire, respectivement !) à la base
de plein-air Jouvence en Estrie qu'il a inventé l'histoire
de Gabriel Clermont et Virginie Latendresse dans Pour l'amour
de Virginie… Vous vous demandez pourquoi Yanik a mis les points
de suspension au bout du titre ? L'écrivaine Marie-Andrée
Clermont, responsable du recueil Petites malices et grosses
bêtises, se posait la même question ! La réponse
est simple. Pour Yanik, le titre sortait de la bouche de Gabriel,
le personnage principal et narrateur, et sous-entendait une suite :
«Pour l'amour de Virginie… je serais prêt à tout !»
En plus de l'histoire de Yanik, on trouve dix autres nouvelles très
amusantes dans ce recueil créé pour les 12 ans et
plus. 
Écrite
à l'automne 2003, cette histoire est la quatrième
participation de Yanik Comeau aux recueils de nouvelles de l'AEQJ.
Au départ, le thème sport a fait peur à
Yanik qui est sans doute un des moins sportifs de sa famille (son
père est un ancien prof d'éduc, entraîneur de
basket et actuel commentateur sportif à la télé !,
un de ses frères et sa sœur ont joué pour l'équipe
du Québec au basket… et son autre frère est un grand
adepte du jogging !) Qu'à cela ne tienne, Yanik a laissé
mijoté le thème pendant plusieurs semaines et a choisi
d'écrire une des trois histoires qui lui est finalement venue.
En plus d' Étienne Desloges aux premières loges !,
vous découvrirez, dans le recueil Les nouvelles
du sport, quinze autres histoires des plus variées…
et ce n'est pas un livre seulement pour les gars ! Choisi
dans la sélection de Communication-Jeunesse 2004.
Écrite
au printemps 2005 en catastrophe (pour ne pas dire en coup de vent
ou en coup de balai !) après avoir longtemps mûri
dans la tête de son auteur, Les planètes, mes complices
est la cinquième nouvelle de Yanik Comeau à être
publiée dans un recueil de l'Association des écrivains
québécois pour la jeunesse (AEQJ). Bien que Yanik
ne soit pas particulièrement friand d'histoires de sorcières,
de chats noirs et de magie, il a néanmoins voulu participer
sur-le-champ à ce recueil, tenté par le thème,
même s'il ne l'avait pas encore exploré, même
de loin. C'était là une partie du défi et…
il ne faut pas oublier que la marque de commerce de Yanik en littérature
jeunesse est l'astronomie (la lune, les planètes, les étoiles,…) !
Au départ, les complices d'Isaac Dutrizac-Sauvagnac, le jeune
sorcier qui abuse secrètement de ses pouvoirs magiques pour
s'acquitter de tâches que détestent les jeunes humains,
devaient être les étoiles. Puis, au fil des semaines,
Yanik a remplacé les étoiles par les planètes
de notre système solaire. Ainsi, Mercure règle les
retards, Vénus répare les relations amoureuses en
péril, Mars aide dans la gestion des amitiés, Jupiter
assiste dans les devoirs, Saturne est la spécialiste du ménage,
Uranus serre d'aide-mémoire pour l'étude… et Pluton
donne un coup de main pour les jeux vidéo ! Cependant,
un bon matin, les planètes décident de bouder Isaac.
Il devra se débrouiller comme un pauvre humain ! Mais
pourquoi ce matin en particulier ? Que se passe-t-il ?
C'est ce que vous apprendrez en lisant Les planètes,
mes complices dans Les baguettes en l'air. Bonne
lecture ! Choisi dans la sélection de Communication-Jeunesse
2006.
Écrite
quelques jours avant la Saint-Valentin 2006, cette sixième
nouvelle de Yanik Comeau à être publiée dans
un recueil de l'Association des écrivains québécois
pour la jeunesse (AEQJ) a été inspirée d'un
très court texte que Yanik avait écrit comme exercice
de français pour ses élèves de 1ère
secondaire alors qu'il enseignait la langue maternelle à
l'école Bonnier de Ville de Mercier (Commission scolaire
des Grandes-Seigneuries). Bien qu'il ne s'agissait que d'un tout
petit paragraphe écrit rapidement pour un exercice sur les
homophones (!), les étudiants avaient été tellement
captivés par l'histoire qu'ils avaient demandé à
«monsieur Comeau» d'où venait ce texte. Lorsqu'il
leur a expliqué qu'il l'avait écrit spécialement
pour leur cours, ils ont été bien flattés et
impressionnés, mais aussi très déçus
puisqu'il n'existait pas de livre dans lequel ils pourraient lire
l'histoire complète ! La réaction de ses élèves
a bien fait réfléchir Yanik qui se disait qu'il faudrait
bien, un jour, reprendre cette idée et en faire un roman
ou une nouvelle. Cette nouvelle, c'est Chalet de glace,
écrite trois ans plus tard, alors que les élèves
étaient en 4e secondaire. Ils sont maintenant en 5e secondaire…
et Yanik espère qu'ils mettront la main sur le livre puisqu'il
a dédié sa nouvelle à ces étudiants
des écoles Bonnier et Des Timoniers (Ville Sainte-Catherine)
auxquels il a enseigné pendant l'année scolaire 2002-2003.
Avec Chalet de glace, Yanik explore pour la première
fois l'univers excitant de la folie, de la violence et de la peur !
Il s'est fait prendre au jeu et affirme maintenant, avec le recul,
qu'il aimerait bien y revenir un jour. À vous maintenant,
de découvrir l'histoire de ce week-end de rêve qui
vire au cauchemar pour Alex et Cédric.
Écrite pendant le week-end de Pâques 2006, Miroir, miroir est la septième nouvelle que Yanik Comeau publie dans un recueil de l’Association des écrivains québécois pour la jeunesse (AEQJ). Pour cette histoire, l’auteur a revisité des personnages qu’il avait créés dans la nouvelle Étienne Desloges aux premières loges !, publiée dans Les nouvelles du sport (collection Girouette, éditions Vents d’Ouest) en 2003. En effet, la meilleure amie d’Étienne, Charlotte, devient le personnage principal de cette nouvelle histoire et Étienne revient comme personnage secondaire. Évidemment, les lecteurs n’auront pas besoin d’avoir lu Étienne Desloges aux premières loges ! pour lire Miroir, miroir, mais ceux qui l’auront lue pourront faire des liens. Dans Miroir, miroir, Charlotte, une jeune comédienne de 12 ans qui joue dans deux séries télé et multiplie les rôles au théâtre à l’école, vit une journée pour le moins éprouvante, d’abord au studio de télé, puis dans un magasin de vêtements et, enfin, lors d’une représentation de Blanche-Neige et les sept nains à son école. Amoureuse de David, le jeune garçon qui incarne le garde-chasse dans la pièce, Charlotte vivra des sensations fortes lorsqu’elle se retrouvera en coulisses et sur scène, face à face avec l’objet de son affection. Avec Miroir, miroir, Yanik renoue avec l’humour et avec l’amour, deux thèmes qu’il affectionne particulièrement. À vous maintenant de rencontrer cette Charlotte, une jeune fille pleine de talents… mais parfois distraite !
Commencée au début du mois de juillet 2007, entre les deux semaines de camp de l’Atelier-théâtre Côté Jardin, l’écriture du premier jet de Sang-froid sur le métier… s’est terminée un mois plus tard, le 8 août 2007. Par la suite, encouragé par l’écrivaine Marie-Andrée Clermont, coordonnatrice des recueils de l’AEQJ, Yanik Comeau a sérieusement resserré l’histoire pour ajouter au suspense, à l’effet de terreur. Bien que Sang-froid sur le métier… soit la huitième nouvelle que Yanik Comeau publie dans un recueil de l’Association des écrivains québécois pour la jeunesse (AEQJ), il s’agit de sa première incursion dans le monde de l’horreur. Cette histoire a germé dans la tête de son auteur pendant une visite familiale à l’érablière La Feuille d’érable du Mont Saint-Grégoire, le dimanche de Pâques 2007. Elle y a trotté pendant plusieurs semaines avant que l’auteur s’aventure à en écrire les premières lignes. Située dans une ancienne érablière abandonnée, cette nouvelle raconte l’histoire du jeune citadin Philippe qui est entraîné bien malgré lui à la campagne par son père magnat de l’immobilier et entrepreneur en construction qui veut construire des condos en bordure d’un grand centre de ski. Philippe découvrira qu’il n’est pas seul avec son père dans cette petite maison de ferme en décrépitude… Yanik s’est aussi inspiré de ses souvenirs en retournant dans son enfance pour se rappeler les environs de la ferme de son oncle André qui avait aussi une érablière sur sa propriété à Stukely-Sud, en Estrie, au Québec. Avec Sang-froid sur le métier…, Yanik s’inspire de sa propre peur du noir, de la mort et de la cruauté humaine. Il a pris plaisir à explorer le côté obscur du cœur humain. Plongez dans cette histoire macabre, lugubre, … et dormez bien !
Les nouveaux souverains d'Ésopte et le recueil Un animal ? Génial ! sont nés d'une initiative de l'Association des écrivains québécois pour la jeunesse (AEQJ) qui a choisi dix écrivains, dont Yanik Comeau, pour écrire une nouvelle en collaboration avec un groupe scolaire de l'île de Montréal auquel ils seraient jumelés. Sur le thème des animaux, les auteurs devaient rencontrer les élèves, leur parler du projet, demander aux élèves de choisir un animal et de mener une recherche sur ce dernier pour alimenter l'écriture de l'auteur. Yanik a voulu pousser l'audace encore plus loin en écrivant en direct, devant les élèves, l'histoire commandée. Ils ont donc pu commenter en direct, participer à la correction, à la réécriture... bref, vivre une véritable expérience de création.